Comme promis dans mon article précédent, après avoir raconté l’adaptation du Bourgeon, voici mon expérience d’allaitement et reprise du travail. J’ai beaucoup tâtonné pour trouver le bon rythme, alors autant partager cette expérience !
Après six mois dans ma bulle avec le Bourgeon, tout se passait si bien au niveau de l’allaitement que je n’avais aucune envie d’arrêter de le nourrir au sein. C’est pratique, économique (sauf pour mes deux ou trois collations journalières supplémentaires 😆), écologique et surtout, tout doux ❤️.
Mais mon expérience (ratée) d’allaitement et de reprise du travail pour le Lardon m’a appris une chose : pour que ça marche il faut entretenir sa lactation et donc, de fait, tirer son lait sur son lieu de travail. Une décision qui a été facile à prendre dans la théorie pour le Bourgeon mais qui m’a au départ parue épuisante et fastidieuse dans la pratique ! Alors pour me donner du courage, j’ai pensé à mes amies et/ou collègues qui l’ont fait elles aussi : Caroline, Émilie, Marine, Agnès, Marie… Et si moi aussi, j’y arrivais ? 💪
Mon plan de base était assez simple : tirer mon lait en journée pour le donner à boire au Bourgeon le lendemain ; et continuer de l’allaiter au sein soir et week-end. C’est seulement un mois avant ma reprise que j’ai commencé à me poser de questions plus spécifiques : avec quoi je tire mon lait ? Combien de fois par jour, quand et où ? Combien de lait me faut-il ? Comment le Bourgeon le boira-t-il ?
Côté boulot
Avec quoi tirer son lait ?
J’avais à la maison un tire-lait loué à la sortie de la maternité (pour résoudre des problèmes d’engorgement suite à ma montée de lait) dont l’efficacité laissait vraiment à désirer pour tirer efficacement. J’ai alors demandé conseil à une collègue calée sur la question d’allaitement et j’ai décidé de faire… tout comme elle :


- Louer un tire-lait plus efficace : par exemple, le Sensitive Mamivac ;
- Investir en plus dans un petit tire-lait portable : le Meleda Swing (non disponible à la location car pas stérélisable ; mais trouvable facilement d’occasion).
Après trois mois d’utilisation, je confirme que c’est une configuration qui me plaît : avoir un tire lait à la maison et un autre au travail me permet d’avoir moins de choses à transporter et donc de réduire (un peu) la charge mentale :
- au travail, j’utilise le petit Meleda qui fonctionne sur piles et sur secteur. Ça me permet de tirer n’importe où, que j’ai accès à une prise ou pas (on y reviendra) ;
- à la maison, j’utilise occasionnellement le Mamivac en rentrant du travail si j’ai les seins gonflés ou besoin de stock.
Ma collègue, elle, tirait avec chaque matin mais personnellement je n’ai ni le lait (trop de tétées nocturnes), ni temps (trop à la bourre 😅).
Combien de tirage par jour ?
Le nombre de tirages nécessaires pendant la journée de travail dépend de nombreux critères : combien l’enfant a-t-il besoin de lait ? à quel point faut-il entretenir la lactation ? combien de temps peut-on rester confortable sans tirer ?
Pour un bébé de six mois, ma collègue m’avait conseillé au moins 6 tétées/tirages par 24 heures. Ainsi, théoriquement, je pourrais me contenter de tirer une seule fois sur ma journée de travail (les tétées des soir, matin et nuit arrivant largement aux 5 autres) mais mes seins ne sont pas d’accord avec ça. Pour le moment, je tire donc deux fois au travail : dans la matinée et dans l’après-midi.
Je n’ai pas d’horaires de tirage fixe : je fais en fonction de mes réunions et de ma charge de travail. Il m’arrive aussi d’avoir des journées très chargées et donc de louper un tirage. Je me rattrape alors sur ma pause midi ou en rentrant à la maison.
Où tirer son lait ?
Comme je travaille dans une entreprise de moins de 50 employés, il n’y a aucune obligation juridique de me proposer local. Je compose donc avec ce qui est possible…
J’alterne en général entre deux espaces :
- Le bureau « petit comme un placard mais avec une baie vitrée quand même » : il est muni d’une prise électrique et c’est la pièce fermée avec le moins de vis à vis que nos locaux possèdent (si je tourne le dos à la vitre, le directeur financier et les gens de l’open space ne voient pas mes seins 💪). C’est finalement ma meilleure option…
- Les toilettes : sans prise électrique, avec un minuteur réglé sur trente secondes 🤔. Et en plus on capte pas internet. Pourtant, je choisi parfois de m’installer là bas, notamment quand nous avons de la visite de clients et que le vis-à-vis avec l’open space me gêne.
Au début, quand je m’installais dans la pièce, je collais un post it « Ne pas déranger » sur la porte mais finalement, je ne prends même plus la peine 😅 : la baie vitrée de la pièce permet aux gens de savoir si le bureau est libre ou pas…
Une fois mon lait tiré, je vais le déposer dans notre frigo partagé, dans ma petite glacière.
Quelle tenue ?
Moi qui comptais retrouver mes habits « normaux » avec la reprise du travail, c’est loupé… Tirer son lait, en double pompage, ça nécessite d’avoir les seins à peu prêt sortable facilement.
Alors pour éviter de me retrouver trop les seins ou le ventre à l’air quand je tire, je garde des habits avec « seins facile d’accès » (globalement ma garde robe normale convient en fait, mais je privilégie les gilets et chemises ouvertes aux pulls et hauts très couvrants). Et finalement, ma tenue la plus pratique est mon haut Tajine Banane, spécial allaitement discret, offert d’ailleurs par mes collègues pour ma reprise ❤ !
Côte accessoires, j’ai aussi adopté les petits coussins en silicone de Lilypadz. Je les adore car :
- Ils empêchent les fuites de lait intempestives (pendant une réunion qui s’éternise, ou même quand je pense un peu trop à mon fils !) et ça évite l’effet tee-shirt mouillé qui est vraiment gênant sur le lieu de travail.
- Pour les nettoyer, il suffit de les rincer à l’eau savonneuse. Simplissime ! Du coup, une seule paire suffit (contrairement aux coussinets lavables, qu’il faut… laver en machine, et donc avoir en plusieurs exemplaires).
- Ils sont invisible sous les vêtements ; et même, cachent mes tétons, idéal pour moi qui porte des brassières en coton tout fin.
Par contre, pour les avoir testé au tout début, ces compresses sont peu adaptées à un allaitement qui se met en place : ils ne permettent pas de recueillir beaucoup de lait (quand bébé tête sur un sein, ça coule dans l’autre et quand j’enlève la compresse, ça dégouline un peu).
Comment mes collègues vont le prendre ?
Je suis assez privilégiée : comme mentionné plus haut, une de mes collègues est calée sur le sujet et a déjà sensibilisé mes collègues à l’allaitement au travail il y a quelques années, quand elle était directement concernée. Ainsi, nombreux de mes collègues sont familiarisés avec La mafia lactée au travail, dont je vous parlais dans l’article Allaitement et travail.
De mon côté, je suis plutôt timide : je n’ai prévenu que mon chef direct le jour de ma reprise ; même si j’en ai parlé à quelques autres collègues.
Finalement, les gens ne remarquent pas ou peu que je m’isole deux fois 15 minutes par jour. Contrairement à une amie, je n’ai eu aucune remarques malaisantes ! (Mais je retiens sa réplique, en cas de besoin « Oui, je vais tirer mon lait, pourquoi, tu veux goûter ? »)
Côté bébé
Combien de lait faut-il ?
Puisque j’avais toujours nourri mon bébé au sein, avant ma reprise, je n’avais aucune idée de la quantité qu’il lui fallait. Après recherche, j’ai lu qu’on pouvait compter en moyenne 30 ml par heure de garde. Ça tombe bien, ça correspond à la quantité que j’obtiens après mes deux tirages : environ 250 ml pour 9 heures de garde.
La nounou du Bourgeon a ensuite tâtonné pour trouver le bon rythme. En ce moment, il boit deux fois par jour : 30-60 ml le matin et 120-150 ml dans l’après-midi.
Ainsi, au final, il boit moins que ce que je produis (ouf, c’est mieux dans ce sens là !). En fin de semaine, j’ai donc un petit peu de stock, que je congèle en prévision de mes sorties.
Comment le Bourgeon se nourrit-il ?
Pour éviter les risques de confusion sein-tétine (qui peut perturber le bébé au point de mener à la fin de l’allaitement), il est souvent conseillé d’éviter le biberon et d’utiliser un autre type de contentant : par exemple un biberon cuillère, une tasse ou une cup. Alors, pleine de bonne volonté, j’ai choisi une tasse 360° comme contenant pour le Bourgeon.
Et puis, il n’y buvait pas franchement et comme, à ce moment là l’adaptation était compliquée chez la nounou, à sa demande, j’ai finalement acheté un biberon pour lui faciliter la vie. Tout le monde a été grandement rassuré puisque, par chance, le Bourgeon n’a eu aucune difficulté a accepter ce contenant. (Et pour le moment, pas de signe de confusion à l’horizon ; si ça arrive, nous retenterons la tasse).
Le biberon n’est d’ailleurs pas le seul compromis que j’ai fait à mes idées bien précises ! Dans la série « parentalité et respect du rythme de l’enfant », j’adore l’idée de la DME (diversification menée par l’enfant) mais j’ai mis ça de côté :
- à la maison, la vigilance que la DME implique, alors même que j’ai un grand Lardon qui demande beaucoup d’attention, a eu raison de ma motivation.
- et surtout, en DME, le Bourgeon mange moins qu’en purée mixée, et boit donc plus de lait ; ce qui est un problème puisque le lait que je fournis est en stock limité et que je n’arrivais pas à suivre en quantité.
Ainsi, le Bourgeon est nourri à la purée mixée et la compote, et ma foi, il semble apprécier franchement !
Et pour finir, puisqu’on est pas à un compromis prêt, je peux tout vous avouer : j’ai même donné une boîte de lait artificiel à la nounou 😱 ! Elle n’a jamais servi (et elle ne servira probablement jamais) mais elle a permis de me rassurer pour une peur un peu irrationnelle : « Et si un jour, tout le lait du Bourgeon était renversé sans faire exprès ?? ». En vérité, maintenant que le Bourgeon mange bien ses purées/compotes/boudoirs, ce lait artificiel est vraiment inutile car il pourrait tenir un bout de journée sans lait, mais ON NE SAIT JAMAIS.
Au final
Voilà, on arrive (enfin) au bout de cet article, et je crois que j’ai fait le tour de la question de ma routine d’allaitement au travail.
Alors, on ne va pas se mentir, tout cette logistique est un peu fastidieuse et vient avec de la charge mentale supplémentaire (bien penser aux pains de glace le matin, ne pas oublier le lait dans le frigo du boulot le soir…) (ce qui n’est pas anodin pour une tête en l’air comme moi). Et puis, ça enlève un peu de spontanéité (après l’école, le Lardon aimerait parfois bien se promener, mais je dois mettre mon stock au frigo et parfois tirer…).
Mais bon, quand on est dans le rythme, ça se fait bien, et la petite main du Bourgeon qui me caresse quand je donne le sein vaut bien cet effort <3. Et on verra bien jusqu’où cette aventure nous mène !
Et chez vous, comment s’est passé la reprise ? Si vous avez été dans une situation de tire-allaitement, avez-vous trouvé ça fastidieux à mettre en place ? Avez-vous tenu sur le long terme ?
Merci beaucoup pour ce partage d’expérience. Je suis certaine qu’il sera utile à bien des mamans !
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Toutes mes félicitations en tout cas pour ce boulot de tirage, moi j’ai adoré allaiter mais je n’ai absolument AUCUN plaisir à tirer mon lait. J’admire les femmes qui font preuve d’un tel dévouement ! On m’avait prêté la Medela Swing, que je trouve bien.
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Ah mais on est d’accord, ça n’apporte vraiment aucun plaisir de tirer… Si je le fais c’est uniquement pour prolonger le plaisir de donner le sein ! Et moi aussi, j’admirais beaucoup mes amies qui le faisaient mais maintenant que je suis lancée ça ne me paraît plus si insurmontable puisque j’y arrive 😅
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Je te souhaite bon courage jusqu’à ce que le Bourgeon n’ait plus besoin de ton lait chez sa nounou, ça va finir par arriver ! (moi j’ai arrêté de tirer à 9 mois pour l’aîné et 11 pour le deuxième et ils ont tout les deux continué à téter jusqu’à plus de 18 mois).
J’ai investi dans un Freestyle de Medela que je transportait pour l’aîné (j’avais aussi un tire-lait manuel au bureau et il a servi quelques fois quand j’oubliais des pièces du Freestyle). Pour le deuxième j’ai eu la chance de pouvoir aller l’allaiter à la crèche le midi donc je ne tirais qu’un peu le matin avant de partir pour qu’il ait un biberon pour le goûter. Tirer son lait ce n’est pas ce qu’il y a de plus amusant mais ça vaut le coup pour prolonger son allaitement (et finalement j’ai trouvé ça tellement facile que pour le deuxième et la troisième, en attendant la reprise j’ai tiré/je tire pour le lactarium).
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Je me demande quand ça arrivera oui, que je me sente suffisamment à l’aise pour arrêter de tirer ! 9 mois, ça me paraît tôt dans notre cas (c’est dans quelques semaines, je ne m’y vois pas du tout !)
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C’est chouette d’avoir ton retour, par chance, j’ai repris le travail aux 8 mois de ma fille, je n’ai donc pas eu à tirer mon lait, mais je me dépêchais quand même pour aller la chercher et je faisais une tétée dans la crèche 😉
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À huit mois, tu n’avais pas besoin de tirer ?! Combien de temps étiez vous séparés ?
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Nous étions séparés de 7h15 à 16h45 environ. J’étais vraiment contente qu’elle tète quand je la retrouvais par contre 😜
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Tu m’étonnes ! J’arrive pas à tenir si longtemps sans tirer perso ! (ni lui sans boire en fait 😅). Mais je tenterai de réduire à un tirage dans les mois qui viennent
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J’avoue que vraiment je ne voulais pas tirer, ma fille ne prenais presque rien à la crèche mais se rattrapait allègrement la nuit 😜
Je pense qu’il y a une partie de psychologique dans tout ça ( pour ma part en tout cas) je ne voulais pas tirer mon corps a réagit en fonction. Ma fille était suffisamment grande aussi
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Ton histoire de tirage ressemble à la mienne ! Hormis que ma fille a détesté le biberon et s’est en vite passé ^^’ Je tirais aussi 2 fois par jour jusqu’à ses 9-10 mois (environ la même quantité que toi d’ailleurs!). Puis comme la crèche ne lui donnait plus qu’un peu de lait après le repas de midi (90mL – et encore, j’ai dû insister mais ils ont été coopératifs), je suis passé à un tirage par jour (vers 12h, c’est doucement passé de 200 à 150-120mL). Elle a presque 21 mois et je tire encore, mais plus tous les jours. Je ne me sens pas à l’aise avec la suppression complète d’un tirage car bien qu’elle tète toujours la nuit (à 22h, 1h, 3h30, 6h et souvent encore jusqu’à son réveil — je vends du rêve-là, n’est-ce pas ? :-P), j’ai l’impression que je produits moins de lait la nuit et qu’elle chipote beaucoup plus.
C’est peut-être psychologique, mon allaitement est marqué d’une grosse peur de ne pas avoir assez de lait (bien que je n’ai jamais eu de souci) mais ça me stresse toujours car mon objectif minimum est de 2 ans !
J’avoue que j’ai mis du temps à apprivoiser le tire-lait mais que sur mon lieu de travail, j’avais une salle fermée à clef (un labo-herbier), un frigo et des collègues qui l’avaient déjà fait: c’était donc normaliser dans mon unité ! Mais pfff, que de logistique quand même, surtout à vélo et en train: je loue un Ameda Lactaline très compact et efficace, c’est un fidèle allié c’est sûr !
Bon chemin lacté à vous deux 🙂 ah, la petite main toute douce posée délicatement sur le sein: rare chez moi mais c’est un souvenir qui me marque ❤
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Merci de ton retour, ça me donne des pistes sur à quoi m’attendre, peut être !
De mon côté, je ne sais pas jusque quand je compte allaiter. Au moins son premier hiver, et vu que c’est un bébé de printemps, tant qu’à faire, jusqu’à ses 1 an. Après ça, il est possible que j’arrête, surtout s’il y a encore beaucoup de réveils dans la nuit… On verra !
Ah, et bravo d’avoir réussi à tire allaiter à vélo ! Personnellement, je repousse encore de quelques mois mes trajets maison-boulot à vélo-cargo : entre le petit qui ne marche pas encore, mon ordi et mon tire-lait, j’ai trop l’impression d’être une sherpa… Quand j’aurais moins de choses à porter ! Et en attendant, je profite du confort de mon coffre…
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Je suis toujours contente de lire que ça peut bien se passer. Pour mes deux enfants (qui ne sont plus allaités mais que j’ai allaité respectivement 2 ans et 3 ans, non sans moult commentaires…), j’ai pu tirer mon lait confortablement au travail : une salle avec point d’eau fermant à clef, des collègues globalement compréhensifs, deux tire-lait (un manuel et un électrique). Sauf que mes seins ne se sont jamais laissés berner par ses machines et que je tirais des quantités infimes… Alors que dans le même temps ma sœur tirait 1,5 litre de lait dans des conditions beaucoup moins confortables, j’atteignais péniblement 50ml. Ridicule. Tout ça pour dire que même si ça ne marche pas comme on le voudrait ça peut ne pas remettre en cause l’allaitement. Mes enfants n’ont jamais eu de lait en poudre pour autant. Ils n’ont jamais voulu du biberon non plus. Pas de biberon, très peu de lait, il a fallu pas mal dialoguer avec les nounous mais c’est possible et ils grossissaient bien. J’ai été très soulagée de voir arriver l’âge de la diversification alimentaire !
Je vous souhaite encore de longs plaisirs lactés !
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Mais quel est le secret de ta soeur ??? 😀
De mon côté, après les nuits difficiles, c’est la cata : je tire à peine 20-30ml… C’est incroyable comme la fatigue peut jouer ! Mais bon, au final, en garde, il a toujours assez, ouf !
Merci pour ton commentaire 🙂
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Je viens de relire ton article car je laisse ma dernière pour la première fois chez sa nounou (3h si tout se passe bien) et que comme à chaque fois, je me pose la question de combien de lait donner. Je pense que je vais apporter 120 ml de lait frais dans un contenant, et un biberon à part, et lui demander de faire un biberon de 60 ml et de proposer ensuite 30 ml par 30 ml si ma fille réclame. Suivant ce qui reste, elle pourra congeler le surplus, et s’il n’y en a pas, j’apporterai un ou deux pots de lait congelé « au cas ou » la fois suivante. Je n’ai pas envie d’acheter une boite de lait maternisé qui ne servira probablement jamais (au pire, je sais que sa nounou en aura puisqu’elle gardera un deuxième bébé du même âge).
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Ça paraît une bonne idée ! Je confirme ici que le lait n’a toujours pas servi à ce jour ! Du lait congelé aurait été plus malin en cas de maladresse, mais à l’époque, je n’avais pas de stock !
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Finalement, la demoiselle a tout bu le premier jour, et maintenant je donne 360 à 400 ml pour des journées de 9h30 (et pour le moment ça n’a pas diminué malgré les 200g de purée à midi).
Et le lait congelé n’a pas encore servi !
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si le nourrisson doit être amené à l’établissement, il ne doit pas séjourner sur le lieu de travail, ce qui rend les modalités d’allaitement au travail très rarement utilisées : http://www.officiel-prevention.com/formation/fiches-metier/detail_dossier_CHSCT.php?rub=89&ssrub=206&dossid=210
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Vive le Medela portatif, c’est le meilleur tire-lait du monde !!
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Il sert pas beaucoup en ce moment 😅
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Au moins un avantage au confinement, mais du coup, je sens que ça va être dur quand il va falloir les ressortir !
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