Note d’introduction : j’ai hésité à publier cet article, qui est une réflexion sur la consommation de mon point de vue de personne privilégiée. Pour les 10% de la population française pour qui offrir des cadeaux n’est même pas une option, mes états d’âmes vont paraître bien futile et je m’en excuse !
Si je devais dater ma prise de conscience autour de ma (sur)consommation, je crois que ça a commencé pendant la première année du Lardon (j’en avais déjà parlé). J’ai d’abord commencé par acheter plus souvent d’occasion et moins souvent neuf. Et puis, au fur et à mesure de mon cheminement, j’ai commencé à moins acheter tout court.